Promenade géobiologique en pays de féérie … dans le Bugey

Radiesthésistes, sourciers depuis des millénaires étudient les rayonnements de la terre, du cosmos et leurs influences sur la vie. Les « anciens » ne construisaient pas au hasard comme à présent, mais en fonction des courants d’eau ou telluriques favorisant la vie des personnes résidant sur un lieu donné. Si la science officielle le plus souvent regarde ces pratiques avec suffisance, cette connaissance du ressenti gagne en puissance vu les résultats bénéfiques obtenus par ces techniques. Pendules, baguettes et souvent simples ressentis avec les mains sont les seuls outils opératoires sur le terrain.

Approche d’un mégalithe

Promenade en ces premiers jours de printemps en compagnie de Dominique Leblanc, architecte-géobiologue et de quelques personnes passionnées par le domaine invisible des lieux. Et Dominique a conduit ses amis bien au-delà d’une simple détection d’ondes diverses.

Au-dessus de la paroi rocheuse de Virieu-le-Grand se trouve une énorme roche couchée posée sur d’autres pierres plus petites. « Pierre des fées, des druides, pierre grise », tels sont les vocables qui lui sont donnés… Nous apprenons que ce mégalithe repose sur deux failles et deux courants d’eau, avec présence d’un vortex. La pierre inverse le négatif issu de ces failles en courants d’eau en positif. Le géobiologue affirme que cette pierre aidait jadis les pèlerins à se soigner du foie et du pancréas principalement.

Mais bien plus encore, la puissance de rayonnement du lieu et de cette pierre amenait à une élévation de la conscience de ceux qui depuis la préhistoire s’en approchait.

Nous touchons ensuite à l’ésotérisme avec l’empreinte des agissements sur ce lieu laissée par les druides-chamans. Une triple enceinte occulte l’entoure.

Chacune d’elle est protégée par un gardien éthérique présent encore, mais bien sûr insoupçonnable pour la plupart d’entre-nous.

Le groupe a pu tester ce qu’il ressentait au contact de ce mégalithe.

Le monde des entités de la nature.

C’est au célèbre « Pain de sucre » près de Lochieu que cette promenade ensuite nous a conduit vers de bien curieuses révélations… Il serait trop long de détailler l’exposé de Dominique Leblanc, résumons-le au plus simple.

Ce lieu magnifique, vibrant, protège l’ensemble des entités des quatre éléments de la nature.
Même celles du feu avec un dragon ! Entités de l’air, de l’eau et de la terre : fées, elfes, ondines, devas, gnomes…

Et oui, une réserve d’êtres invisibles voués à la bonne marche de la nature !

Une réalité ou une croyance qui conduisent à respecter infiniment l’eau d’un torrent, une fleur d’aubépine, chaque parcelle de vie…
Bien malheureux celui qui ricane devant de telles possibilités féeriques.

Michel Bigoni