L’ensemble des sapins en vente provient de pépinières domiciliées essentiellement dans le Morvan, en Franche-Comté, les Vosges, le Massif Central. Ils ne sont plus coupés en forêt. Et 10% des nordmann viennent de Belgique et du Danemark.

Il aura fallu environ 7 ans de travail (repiquage, taille…) avant de le mettre à la vente.

Ces sapinières apportent de l’oxygène tant à l’économie locale qu’à l’atmosphère terrestre : les jeunes sapins en plein développement rejettent à peu prés 7 fois plus d’oxygène qu’une forêt mal entretenue.

Lors de l’achat, deux possibilités s’offrent à vous : le sapin coupé et celui à replanter. Pour ce dernier (contenant des renseignements sur sa région de production, sa catégorie et son type de conditionnement) à nouveau plusieurs propositions :

En motte : le mieux est qu’elle soit intacte, emballée et assez grosse pour préserver une quantité importante de racines.

En pot : l’arbre a été arraché et mis dans un pot pas forcément adapté à sa masse volumique. Des racines peuvent avoir souffert. Mais c’est un choix judicieux pour le garder plus longtemps à la maison.

En conteneur : le sapin a été élevé dans son pot depuis sa tendre jeunesse. Dans ce cas aucune grosse racine n’est apparente et de fines radicelles sont visibles tout autour de la motte. Ceci est le gage d’une excellente reprise.

Attention, lors de la plantation, évitez les chocs thermiques. Le séjour du sapin à la maison (placé loin d’une source de chaleur et près d’un endroit lumineux) ne devrait pas dépasser 10 jours. Arrosez le et vaporiser au moins une fois par semaine le feuillage.

Valérie LOMBARD

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