La première assemblée générale depuis celle de sa création

Il y a un an à peine, notre journal “BalladíAin” consacrait un article à la création de l’association “Belley à cœur”  avec pour président Philibert Marquis et vice président Daniel Goyard. Depuis le bureau s’est enrichi à l’image des activités, des rencontres, des contacts et projets multiples qui ont parsemé ces quelques mois.

Pour mémoire : cette association, apolitique, a pour objet la sensibilisation à la préservation du patrimoine bâti et culturel, l’aide à la mise en valeur du centre historique de Belley afin de créer une dynamique touristique, commerciale et d’amélioration de l’habitabilité des logements existants. Faire découvrir également et aimer la Ville à ses habitants.

5 cafés-débat mensuels depuis la création de l’association se sont tenus où différentes thématiques ont été abordées. Dans le cadre de cet article, impossible de dresser un bilan détaillé de l’ensemble des activités de l’association, aussi, réservons notre choix à un projet touchant le patrimoine de Belley.

Belley de Rome à nos Jours
Ce projet s’articule autour de 3 actions.

1) Mise en valeur des colonnes romaines et des chapiteaux classés depuis 1907, elles proviendraient d’un ancien temple romain de Belley. Cela en les installant au centre ville, soit vers la cathédrale, soit dans le parc Jean-Pierre Camus, soit devant les grilles du palais épiscopal, avec mise en lumière avec des leds…

2) Remise en place de la fontaine qui était située place de la gare et encore avant place de la victoire. Cette fontaine est stockée en éléments sur un terrain communal. Là encore l’idée est de la remettre en eau centre-ville par exemple vers la nouvelle place devant l’ilot Baudin. Il serait aussi judicieux de l’éclairer le soir venu avec des leds pour l’apprécier encore plus.

3) Créer un « parcours de la louve », car la louve est l’animal emblématique de Belley. Ce parcours aura pour but de faire mieux connaître la ville aux habitants et aux touristes en fléchant un chemin de découverte patrimoniale dans le centre ancien. Il se terminerait au bout de 2,5 km Grande rue par la “louve passante” de Colette Sonzogni. Des pavés significatifs jalonneraient ce chemin de « reconnaissances ».

Michel Bigoni

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