Suivre Bruno Carron en promenade (nous allions dire « en voyage ») au cœur des paysages forestiers de notre Bugey suppose que nous possédions un pouvoir d’émerveillement en éveil.
Bien que géobiologiste, depuis de longues années, ce qui lui permet d’étudier d’explorer les liens entre l’environnement naturel et les êtres vivants, en se concentrant principalement sur les aspects énergétiques et vibratoires des lieux, il possède aussi une connaissance traditionnelle solide sur le monde végétal.
L’approche qu’il offre de la forêt est donc multidimensionnelle.
Les bienfaits sur la forêt
Dès les premiers pas sur un chemin forestier, c’est à une marche consciente qu’il nous invite afin de nous unir corps et âme au paysage à travers une perception qui englobe tout. Tous les sens sont ainsi sollicités.
Il aime nous conduire de niche en niche écologistes qui sont le plus souvent de petites clairières qui ont chacune une identité qui leur est propre, des vibrations particulières, ce qui explique l’existence de « portes » énergétiques entre elles.
Là, Bruno nous apprend à découvrir « l’arbre maître » de la niche et à étudier, souvent aidé d’un pendule, son historique, le pourquoi de sa forme…
Une méditation suit souvent ce moment… Parfois, il mène un soin par le magnétisme à un arbre en souffrance.
Les bienfaits sur le promeneur
Bruno Carron, invitera ses ami(e)s de promenade à laisser glisser au-delà de leurs pieds leurs tracas, leurs soucis, afin que ceux-ci nourrissent l’humus recouvrant le sol de la forêt. La visualisation sensorielle joue donc un rôle essentiel dans ce cheminement. D’ailleurs Bruno accorde une importance essentielle à la notion de « chemin ». N’est-il pas comparable en intensité à celui de Compostelle ? Il mesurera en fin de parcours le taux vibratoire des personnes qui l’accompagnent et ce taux sera bien supérieur à celui relevé au départ.
Tout finit par un poème
Les pas du promeneur est scandé par la récitation d’un poème qu’il a composé dont voici un extrait :
« Ode à la nature sans cesse renouvelée,
Après le printemps, nature renaissante de beauté…»
Publi-communiqué