Les prouesses technologiques rendent abordables à chacun les réalisations les plus perfectionnées mis au point actuellement comme les drones, ces engins sans pilote, sortes de petits hélicoptères à quatre hélices, conçus entièrement en fibre de carbone.

A l’origine matériel militaire, il rentre aujourd’hui dans le domaine commercial et privé. Commercial tout d’abord comme pour le projet d’une centrale du livre de faire livrer ses clients par des drones. Privé ensuite, et c’est la grande mode, car pour moins de mille euros, vous pouvez en acquérir un muni d’une caméra. Vous saisissez les risques encourus dans nos vies privées…

Télécommandés à distance ou programmés grâce à un système GPS, les drones survolent nos parcs, nos rues, nos jardins…

Le voisin peut venir jeter un coup d’œil sur votre piscine ou partir à la recherche de son chien perdu… Un drone privé lors d’un festival bugiste l’été passé, survolait la foule.

Alors, la loi nous protège-t-elle ?

Oui. Les débordements peuvent être sanctionnés.

Le décollage d’un drone n’est autorisé que depuis un terrain d’aéromodélisme. Là, l’engin ne peut voler que dans un rayon de 400 m et ne peut approcher une maison ou ses dépendances à moins de 200 m et à une certaine hauteur.

«L’opérateur d’un aéromodèle doit toujours maintenir un contact visuel direct avec son engin».

Michel Bigoni

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.